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Technophobie/-- Non, j’Avalerai pas cette Pilule !

 

Fiévreuse logique de la science, putrescente machine à vomir des antidotes, corporation bubonique qui s’autocensure et s’autoproclame religion nouvelle d’un monde rongé par l’angoisse de la maladie et de l’autre. Parfaite se croit-elle au risque de ternir la raison même. Intelligente et calculatrice, au point de nier sa propre responsabilité dans de sombres affaires.
La science, comme une bannière au service des laboratoires pharmaceutiques, crache, sur les volontaires et autres cobayes forcés, ses miasmes doctrinaux d’un progrès au service de tous.
Tant de sérums drainés dans tous ces muscles et ces veines tracent une logique du respect des traditions républicaines d’une médecine pour tous et toutes et, surtout, malgré eux et elles.
Des écoliers manipulables aux écoles antipersonnelles, les chemins de l’autonomie sont semés d’embûches.
Tant de vaccins inoculés sous haute autorité reflètent la machine administrative paternaliste des organisations dites non gouvernementales, qui collaborent au façonnage d’une vitrine sanitaire pour médias avides d’images d’Epinal : des blouses blanches heaumées du célèbre stéthoscope donnant la bénédiction en intra, quoi de plus rassurant ?

Et si la médecine remplaçait, dans nos sociétés, le rebouteux, la guérisseuse de brûlures, les connaissances des anciens ou le prêche moralisateur du corbac ? Ceux et celles qui croient en elle, ne se défendent-ils/elles pas de cet envoûtement quand il est parfois trop tard ?
La précipitation des esprits tourmentés à écouter les paroles fermes et viriles d’un « docteur » dont le serment est de sauver les vies, succombe souvent à la confiance absolue et irrésistiblement hypnotique.
Le concours médical systématique par exemple lors de dérèglement hormonal, a mécanisé les corps et les esprits qui réclament cet apport synthétique, au risque de dysfonctionnements internes plus graves.
La femme est une mine d’informations pour la science, c’est elle qui fait les frais d’expériences contraceptives ou de fécondations (de toutes sortes et à toutes les étapes). La science et le pouvoir vendent les charmes des unes, ou des autres selon les besoins.
Parfois la machine s’enraye : des hormones de synthèse pour éviter les fausses couches, comme le distilbène, aux hormones de croissance pour enfants que les médecins, petits esprits, trouvaient trop petits pour leur âge. Elles accusent aujourd’hui leur faiblesse d’un jour, et les menteurs de toujours.


Bien loin de ces problématiques, de nouvelles énigmes fourmillent dans les pays pauvres où les maladies entraînent l’épidémie ; des virus incontrôlables défrayant la chronique, dans leur mortelle rapidité, s’acharnent sur des populations exsangues, baignant dans la pauvreté et la manipulation gouvernementale et militaire. Les infrastructures médicales, quand elles existent, sont les cibles premières de la guerre.
L’émergence de certains virus est sujet à controverse, voire tenue au secret.
Des théories sur les origines du SIDA ont été passées au broyeur, même ridiculisées, alors qu’elles mettent en évidence une similitude entre les zones d’apparition des premiers malades du SIDA et les régions d’expérimentation de vaccins contre le paludisme en République démocratique du Congo (RDC).
Les chercheurs responsables de ces vaccinations obligatoires n’exercent plus dans ces régions, ils sont gentiment rentrés en Europe ; et les témoins africains ont été écartés de l’enquête officielle.
Combien d’expériences, dites de sécurité publique, accélèrent la dépendance à la médecine criminelle et concourent pour le Nobel scientifique au péril de milliers (millions) de vies.
Le dernier cas de malfaçon ouvertement dénoncé, celui-là, par le corps médical et scientifique, comme une boutade de comptoir, serait l’envoi postal du virus de la grippe asiatique qui tua en masse, entre 1957 et 19681 ; elle avait disparu, et non, la revoilà, grâce aux trésors et aux stupides coutumes des labos. L’Institut Pasteur, grande église en la matière, n’hésite pas à avouer, coup de coude et clin d’oeil aux journalistes, que ce genre de méthode (l’envoi postal) est courante entre laboratoires. Cet institut, trop moche pour être de mes fesses, a déboulonné plus d’un docteur es sciences pour « pratique illégale de la médecine », et officieusement pour contradiction avec la politique de la boîte. D’autres entreprises pharmaceutiques tentent de se faire discrètes quand le scandale éclate2.
Ainsi, les labos veulent vendre surtout des remèdes bidon qui en appellent d’autres... C’est la loi du marché, de rendre les clients dépendants des médicaments, qu’importe l’efficacité ou la dangerosité de ceux-ci3. La commercialisation d’un produit non fini, ou à risque grave, permet de financer d’autres recherches plus rentables : il faut investir et créer, puis obtenir des promesses de vente pour réinvestir...
Les techniques de remplacement des médecines lourdes pour les longues maladies ne rentrent pas dans ce processus économique pervers.
Appuyés par la médecine, les labos concoctent des solutions pour chaque maladie. Qu’importe si le client-patient en a décidé autrement, il est toujours du ressort de la justice de ramener à la « raison » les esprits indépendants.
La médecine asphyxie tant de corps et d’esprits qu’il est difficile d’imaginer sa disparition prochaine ; pourtant, nombre de fortes têtes refusent d’être les objets de souffrance dont ont besoin ces concepteurs et distributeurs de drogues légales et autres méthodes chimiques ou chimériques.
De plus, la recherche a participé au fichage de données ADN, conçu pour classifier les éléments nuisibles et menaçants ; du flicage aux théories d’hérédité criminelle, la science a toujours été liée aux politiques autoritaires.
Sans cobayes volontaires, la marchandisation de la vie ou du maintien en vie n’existerait pas. Sans données ADN, le fichage génétique est une mauvaise blague. Il suffit de refuser la sécurisation médico-légale de nos vies pour entériner le processus d’auto-destruction des entreprises pharmacoflics ; aidons-les à s’auto-détruire.

Contre la politique sanitaire et sécuritaire

1) Grippe asiatique en 1957 : 4 millions de morts. Grippe de Hong Kong en 1968 : 2 millions de morts.
2) Le centre Merrieux, de niveau P3 de dangerosité, en plein coeur de Lyon, se vante, lui, d’avoir tous les virus du monde en éprouvette, jusqu’au plus meurtrier comme le virus Ebola.
3) Des médicaments divers comme le vioxx contre l’arthrose (de Merck), le cholstat et le staltor contre le cholestérol (de Bayer), ou encore l’ezetrol (de Schering Plough), sont aujourd’hui retirés de la vente après des années de non-dits, concernant le nombre de morts provoqués
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